"faire" la fête au futur lycée général de Bagneux

Ce collectif Galapiat, né en 2006 et structuré en coopérative d’une quarantaine d’associés, a sa propre manière de travailler qui est très analogue à la démarche initiale de cet urbanisme collectif et sociétal. "Sans recette, on fait avec les gens, c’est une prise de risque, mais en général ça prend.", dixit l’artiste Sébastien Wojdan assisté par Fanny.

Dans cette même logique de partage de savoir-faire, le collectif Ne rougissez pas s’associe cette année encore avec le PPCM et Sébastien pour monter des projets dans l’espace public et travaille avec notre classe de seconde encadrée par M. Péris, professeur d’arts appliqués et porteur du projet.

La restitution, le vendredi après-midi 3 mai, prendra la forme d’une fête et le projet de la classe n’est rien de moins que de préparer cette fête ! D’où des ateliers pour apprendre à faire des makis végétariens, pour créer une boîte temporelle où des petits mots glissés ne seront lus que dix ans après. Les élèves recueilleront des témoignages sur le présent et le futur du lycée qui seront enfermés dans la capsule temporelle.

Sébastien donnera in situ son spectacle les Maitres du Désordre. Nos élèves créeront eux l’écrin de ce spectacle hors les murs en réalisant l’accueil du public pour le convier avec hospitalité à cette fête.

Un lien fort se sera établi grâce à tous ces ateliers au lycée, au PPCM et sur le chantier des Mathurins.

Entre-temps, nous irons voir L’ASYMÉTRIE DES BARATINS de Nicola Delon et Benoît Bonnemaison-Fitte le vendredi 26 avril à 14h, une conférence dessinée née de la rencontre entre les questionnements d’un architecte et l’imaginaire d’un artiste peintre.
Les thématiques abordés sont celles qui préoccupent aujourd’hui l’habitabilité de la
terre : Urgence climatique / habitat de demain / géopolitiques / énergie ressources.

Derrière toutes ces créations où l’imaginaire règne en maître, il y a effectivement des limites, de l’ordre, une ligne directrice. On sait où on va et c’est l’élève qui crée le chemin, son chemin.

Un grand grand merci à David Zézé Tebily d’un petit compte-rendu de séance à lire ci-dessous.

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